Histoire

baptiste esseiva et son équipe vous servent depuis 2011.

 

Le quartier, c’est Pérolles. Son boulevard créé au début du XXe siècle, qui s’étend de l’emblématique bâtiment de la Banque cantonale dessiné par Mario Botta au site universitaire qui surplombe les méandres de la Sarine. Pérolles et ses salles de cinéma, son parc du Domino, l’imposant navire amiral des Sœurs de l’Œuvre de Saint-Paul, qui édite depuis 152 ans La Liberté.

Et, en face de ce navire où vrombissaient encore il y a quelques années les rotatives, il y a le Café de la Presse. Le bistrot de quartier par excellence, dans toute la richesse et la diversité du terme.

Un bistrot chaleureux, où l’horloge égraine le chapelet d’une clientèle qui évolue au fil des heures qui passent. Retraités et travailleurs du quartier pour le café du matin et la lecture des journaux, habitués de l’apéro au coin du bar, étudiants, passionnés de Gottéron et amateurs de sport en général pour les diffusions des soirs de match… Et, à midi comme le soir, amateurs de bonne chère à prix doux qui connaissent tout le talent culinaire du chef et la régularité d’une cuisine qui marie simplicité et excellence, alterne classiques et surprises.

Poussez la porte du café de la Presse. Attardez-vous à table ou au zinc. Profitez du moment. Vous pourriez en ressortir avec de nouveaux amis.

————————————————————————————————————————

Le Café de la Presse, c’est aussi un projet de vie. Celui de Baptiste Esseiva et de sa femme Astrid. Baptiste est aux commandes et en cuisine depuis l’ouverture de l’établissement en avril 2011, alors qu’il n’avait que 25 ans. Un grand gaillard à la carrure imposante, à la voix de basse qui porte et remonte parfois des cuisines en sous-sol, à l’humour inaltérable. Musicien amateur averti, il déploie autant de finesse au piano (de cuisine) qu’au cornet.

Formé chez Denis Schwab à l’Auberge de Misery, il a ensuite fait ses gammes dans divers établissements de la ville de Fribourg et d’ailleurs, de la cuisine populaire à la gastronomique, avant de devenir son propre chef en 2011.

Le style culinaire de Baptiste Esseiva, c’est la qualité des produits, la précision des cuissons, la subtilité des assaisonnements, la finesse et l’originalité des sauces, la générosité des plats. Chaque jour, ses proposions tiennent sur l’ardoise. Gage de fraîcheur et de maîtrise, car il est seul aux fourneaux. Aussi à l’aise avec les viandes qu’avec les poissons, il propose également toujours un plat végétarien qui, en saison, fait parfois la part belle au produit de la cueillette de la veille : champignons, ail des ours, herbes du jardin.

Ouvert aux demandes particulières, il se fait à l’occasion chef gastronomique de haut vol. Mais sa passion de la cuisine se ressent dans tous ses plats, de l’assiette du jour aux menus les plus élaborés.

 

ARTICLES